Le nouveau livre
de Christophe Granger

Nouveautés

La pensée perverse au pouvoir

Marc Joly

Comprendre ce qui nous arrive, ce qui nous est arrivé… Tel est l’enjeu de ce livre. Avec les outils des sciences sociales et de la psychanalyse, le sociologue Marc Joly, spécialiste de la sociologie du pouvoir et de la violence morale, décrypte avec précision et efficacité la crise démocratique que nous vivons à partir d’un cas, celui du président Macron.

Sortie : 10 octobre 2024
288 pages – 20 €

Nous sommes venus en France
Voix de jeunes Algériens 1945-1963

Mathias Gardet

Sur les lieux d’un ancien centre d’observation de la justice des mineurs, Mathias Gardet a découvert les dossiers de centaines de jeunes Algériens isolés arrivés en France entre 1945 et 1963. Face aux récits des adolescents, la parole de l’institution judiciaire, éducative, policière, psychiatrique oppose un écho glaçant et empreint de racisme.

Sortie : 12 septembre 2024
448 pages – 26 €

Enfants en guerre, guerre à l’enfance ?

Dirigé par Manon Pignot et Anne Tournieroux

L’actualité nous le rappelle : l’une des spécificités des conflits des XXe-XXIe siècles est de faire des civils des cibles à part entière. L’enjeu de ce livre est d’articuler le point de vue des enfants à celui des adultes, c’est-à-dire l’expérience enfantine de la guerre vis-à-vis des discours et injonctions émanant des adultes, des États en temps de conflits.

Sortie : 10 octobre 2024
232 pages – 35 €

Chaki

Une collection de poche

Nouveautés

Revue

L’enfance en cases
RHEI – N° 26

Dossier dirigé par Frédéric Chauvaud et Jean-Jacques Yvorel

Enfants battus, abandonnés, discriminés parce que handicapés et pourchassés en temps de guerre, vagabonds du XIXe siècle ou « mineurs non accompagnés » d’aujourd’hui, des banlieues de Turin à La Réunion : la nouvelle livraison de la RHEI s’empare de la figure de l’enfermement et de l’enfance maltraitée dans la bande dessinée à travers l’histoire.

Sortie : 22 août 2024
160 pages – 23 €

Le mot est faible

« La pire chose que l’on puisse faire avec les mots, c’est de capituler devant eux. »

George Orwell