Du sexisme dans le sport (nouvelle édition)

Béatrice Barbusse

Nouvelle édition entièrement revue et augmentée d’un livre pionnier, devenu une référence et lauréat du Prix Sport & Littérature en 2017.

 

 

« Retourne faire la vaisselle et du tricot » ; « Qu’elles s’occupent de leurs casseroles… » ; « On dirait un tir de femme enceinte »… Autant de « petites phrases », trop souvent répétées dans le monde du sport, où le machisme et le sexisme semblent régner sinon en maîtres, du moins dans une forme de connivence naturelle.

Du sexisme ordinaire, touchant d’ailleurs femmes comme hommes, aux violences sexuelles, dont les dénonciations se font désormais plus nombreuses, de la question d’une « nature masculine » du sport à celle de la féminité des sportives et des actrices du sport, à laquelle celles-ci entretiennent elles-mêmes un rapport non dénué d’ambiguïtés, l’ancienne handballeuse et sociologue Béatrice Barbusse décrypte et analyse pas à pas la réalité de l’ancrage du sexisme dans ce milieu. S’appuyant sur des cas concrets et sur son propre vécu, elle entend libérer une parole et souligne aussi les changements en cours tout comme le chemin encore à parcourir pour une plus grande égalité.

Category: Tag:

22.00

Description

Sortie : 24 février 2022
384 pages
Nombre d’illustrations :
N° ISBN : 978-2-38191-038-3

Version numérique : 13,99€
ISBN 978-2-38191-039-0

Table des matières

Avant-propos

Introduction

Le sexisme est dangereux

Les sports ont-ils un sexe ?

Les sportives doivent-elles être féminines ?

Comment les femmes de sport doivent-elles s’habiller ?

Les femmes sont-elles capables de manager le sport ?

Et maintenant, et demain ?

Conclusion

Bibliographie
Films mettant en scène des femmes de sport
Index
Remerciements
Biographie de l’autrice

L’avis des libraires

Coup de coeur de Juliet Romeo, Librairie La Madeleine, Lyon

La presse en parle

« Entre une évolution bien lente et des freins puissants, Béatrice Barbusse, sismographe et vigie, donne ici la juste évaluation d’une révolution à petit pas. »

Christine Rousseau, Le Monde