• Passer à la navigation principale
  • Passer au contenu principal
  • Passer à la barre latérale principale
  • Passer au pied de page

Anamosa

  • Accueil
  • La maison
  • Les livres
  • Les autrices et auteurs
  • Les revues
  • Actualités
  • Nous contacter

Les autrices et auteurs

Frédéric Alliot

Frédéric Alliot enseigne les mathématiques au lycée après une formation d’ingénieur et un doctorat de mathématiques appliquées. Dès qu’il sort de sa salle de classe, il explore avec persévérance et délectation l’univers de la peinture ancienne. Il a collaboré au Louvre insolent.

Annabelle Allouch

Annabelle Allouch est maîtresse de conférences en sociologie à l’Université de Picardie-Jules Verne et chercheuse associée à l’Institut national de l’audiovisuel. Ses recherches actuelles portent sur l’accès à l’enseignement supérieur et sur la production et la circulation des hiérarchies et des classements académiques en France et dans le monde anglo-américain. Ancienne visiting scholar à l’Université d’Harvard, elle est l’autrice de La Société du concours. L’empire des classements scolaires (Seuil/La République des idées en 2017).

Photo : Jérôme Panconi.

Malika Amaouche

Malika Amaouche est anthropologue, militante et féministe, elle travaille sur la question des comportements à risques des personnes en marge de la société avec une approche intersectionnelle. Titulaire d’un master à l’EHESS, elle a ensuite travaillé et milité sur les questions de prostitutions dans le champ associatif. Elle est l’auteure de nombreux articles – dans la revue Vacarme, aux éditions Autrement (Jeunes et sexualités), aux éditions Robert Laffont (entrée « Écologie » dans le Dictionnaire des sexualités sous la direction de J. Mossuz-Lavau), aux éditions Antipodes (« La prostitution des traditionnelles » dans Cachez ce travail que je ne saurais voir, de M. Lieber, J. Dahinden, E. Hertz) – et de plusieurs rapports issus de recherches-actions portant sur l’errance, les comportements addictifs, la prostitution et sur l’économie de la rue.

Jacques-Pierre Amette

Jacques-Pierre Amette est écrivain. Écrivain au sens complet du terme puisqu’il aborde tous les genres, tour à tour romancier, nouvelliste, dramaturge, journaliste, critique littéraire, biographe, scénariste… En 2003, il a obtenu le prix Goncourt pour La Maîtresse de Brecht (Albin Michel). Il s’adonne également régulièrement à l’aquarelle. Lors de ses voyages, il n’a jamais oublié d’emporter des carnets sur lesquels il a inscrit des notes, pensées et idées qu’il a agrémentées de très nombreux dessins, croquis et esquisses. Aujourd’hui il peint pour son simple plaisir les paysages des côtes normandes dont les ciels alternativement paisibles et dégagés, ou torturés par des nuages menaçants, bas et lourds, l’inspirent. Il a préfacé Le Louvre insolent.

Ludivine Bantigny

Ludivine Bantigny est maîtresse de conférences en histoire contemporaine à l’université de Rouen.
Elle est notamment l’auteure de L’Œuvre du temps (Éditions de la Sorbonne, 2019), 1968. De grands soirs en petits matins (Seuil, 2018), La France à l’heure du monde. De 1981 à nos jours (Seuil, 2013, rééd. 2018), La Fabuleuse histoire
des journaux lycéens (Les Arènes, 2014).

Photo: Hervé Thouroude.

Béatrice Barbusse

Ancienne sportive de haut niveau et seule femme à présider en France un club professionnel masculin de handball tous sports collectifs confondus de 2008 à 2012, l’US Ivry Handball, Béatrice Barbusse, titulaire de l’agrégation de sciences sociales, est maîtresse de conférences en sociologie à l’UFR AEI International School de l’université Paris-Est Créteil et membre du LIPHA. Elle a été présidente du conseil d’administration du Centre national pour le développement du sport de 2015 à 2017 et membre du conseil d’administration de la Fédération française de handball, au sein de laquelle elle a assumé la coresponsabilité du plan de féminisation national. Après avoir été secrétaire générale de la Fédération française de handball de 2016 à 2020, elle en est la vice-présidente déléguée depuis décembre 2020.
Photographie : © Éric Baudet

Cécile Baron

Cécile Baron, co-auteure du Louvre insolent, enseigne l’anglais et l’histoire des arts en lycée. Titulaire d’un master en histoire de l’art sur l’art social à la Sorbonne, elle fait actuellement des recherches en master-2, s’intéressant plus particulièrement à l’importance de la pédagogie au/du musée, mouvement initié au tournant du xxe siècle, dans le cadre des congrès de l’œuvre de l’Art public.

Frédéric Bernard

Frédéric Bernard, co-auteur de Débordements, est chiropracteur. Il vit à Rome. Par son éducation et par son métier, il a eu l’occasion de connaître de près le monde du football italien.

Jean-François Bert

Jean-François Bert est sociologue et historien des sciences sociales à l’université de Lausanne. Il est notamment l’auteur de Une histoire de la fiche érudite (Enssib, 2017), Comment pense un savant ? Un physicien des Lumières et ses cartes à jouer (Anamosa, 2018), Le courage de comparer, l’anthropologie subversive de Marcel Mauss (Labor et fides, 2021) et il a préfacé l’édition de Marcel Mauss, Essai sur le don (Champs Flammarion, 2021).

Thomas Bouchet

Thomas Bouchet est professeur associé en histoire de la pensée politique à l’université de Lausanne. Ses recherches portent sur l’histoire des pensées et des pratiques politiques et sociales, notamment socialistes, dans la France du XIXe siècle. Il est l’auteur de : De colère et d’ennui (Anamosa, 2018), Les Fruits défendus. Socialismes et sensualité du XIXe siècle à nos jours (Stock, 2014), Noms d’oiseaux. L’insulte en politique de la Restauration à nos jours (Stock, 2010, Livre de poche, 2011). Ces dernières années, il a étudié de près la vie, les idées et les rêves libertaires de Joseph Déjacque (À bas les chefs !, La Fabrique, 2016 ; Libertaire !, avec Patrick Samzun, Presses universitaires de Franche-Comté, 2019).

Samuel Boussion

Samuel Boussion est maître de conférences à Paris 8, membre de l’axe HEDUC « Histoire des éducations » du CIRCEFT. Il développe ses recherches dans le cadre de l’histoire de l’éducation spécialisée et s’intéresse à l’histoire transnationale du médico-pédagogique.

Il est l’auteur de Les éducateurs spécialisés. Naissance d’une profession (1947-1959) (PUR, 2013) et a codirigé un numéro de la Revue d’histoire de l’enfance « irrégulière » sur l’histoire de la psychiatrie de l’enfant dans une perspective internationale. Membre du bureau du CNAHES (Conservatoire national des archives et de l’histoire de l’éducation spécialisée et de l’action sociale).

Lydia Braggiotti

Lydia Braggiotti est une militante de la lutte contre le sida et contre l’exclusion dans les différents milieux qu’elle a traversés : usagers de drogues, prostituées, patients et patientes VIH, femmes en grande exclusion.
Elle a fait partie des premiers patients diagnostiqués VIH, et, dès 1987, elle réalise une vidéo destinée aux usagers de drogues séropositifs, une première en France, où le sida des usagers de drogues était passé sous silence. En 1989, elle propose une recherche-action au centre collaborateur OMS-Sida, et en devient chef de projet. La recherche-action débouche sur la création du Bus des femmes, qu’elle anime également comme cheffe de projet, de l’inauguration en 1990 jusqu’en 1996. Ces deux projets inaugurent la démarche de santé communautaire en associant les femmes prostituées à la prévention du sida. Ils ont été soutenus à ce titre par l’AFLS, la DGS-Sida et l’ANRS. Après 1995, Lydia impulse plusieurs actions avec la création de l’association Alternet et Axes cyberfemme pour former des femmes en grande exclusion à l’utilisation de l’informatique. Dernier projet en cours : proposer une aide à la substitution pour que les patients apprennent à gérer leur traitement avec une meilleure connaissance des effets des médicaments.

Baptiste Brévart et Guillaume Ettlinger

Baptiste Brévart et Guillaume Ettlinger sont artistes, ils vivent et travaillent à Hanovre et à Paris. Ils ont découvert les documents présentés dans ce livre lors d’un passage chez Arleen Schloss en 2011.

Cécile Canut

Cécile Canut enseigne à l’université de Paris. Elle a orienté sa recherche sur les imaginaires linguistiques en Afrique (Mali), sur la mise en scène des migrations (au Cap-Vert) puis sur les pratiques de discrimination vis-à-vis des Roms (Bulgarie). Prônant une anthropo-linguistique politique, elle défend une vision engagée de la recherche.

Elle a publié notamment Le Langage, une pratique sociale. Élément d’une sociolinguistique politique en 2018 (avec Manon Him-Aquilli, Felix Danos, Caroline Panis au PUFC), Mise en scène des Roms en Bulgarie. Petites manipulations médiatiques ordinaires en 2016 (éditions Petra) ; Une langue sans qualité (2007), Le Spectre identitaire. Entre langue et pouvoir au Mali (2008) aux éditions Lambert Lucas ; en septembre paraît, en septembre 2021, Provincialiser la langue. Langage et colonialisme (éditions Amsterdam). Elle est également réalisatrice de films documentaires.

Pauline Chevalier

Pauline Chevalier est historienne de l’art, maîtresse de conférences en esthétique à l’université de Bourgogne Franche-Comté et conseillère scientifique à l’INHA. Elle a notamment publié en 2017 aux Presses du réel Une histoire des espaces alternatifs à New York. De SoHo au South Bronx (1969-1985), et codirigé Le Musée par la scène: le spectacle vivant au musée (Deuxième Époque, 2018).

Matthieu Chiara

Matthieu Chiara, illustrateur, est l’auteur de Dessins variés, effets divers (Le monte-en-l’air, 2015), de Hors-jeu (L’Agrume, 2016) et de Pulp Mixtions. Petit illustré de la curiosité ordinaire (Anamosa, 2019). Il travaille régulièrement pour des revues illustrées et réalise des gravures et des concerts dessinés. Il a illustré les livres de Nicolas Santolaria chez Anamosa, Le syndrome de la chouquette. Ou la tyrannie sucrée de la vie de bureau (2018; Points Seuil, 2019) et Théorème de la couche-culotte. De l’éducation comme science inexacte (2021).

Dirigé par Maud Chirio

Ancienne élève de l’École normale supérieure de Paris, agrégée et docteure en histoire, Maud Chirio est maîtresse de conférence à l’Université Gustave-Eiffel. Elle est spécialiste de l’histoire du Brésil contemporain, plus particulièrement des forces armées, de l’appareil répressif et des réseaux d’extrême-droite sous la dictature militaire (1964-1985). Elle est autrice de La politique en uniforme. L’expérience brésilienne, 1960-1980 (PUR, 2016), également publié en portugais et en anglais, et co-autrice de Révolutions ! Quand les peuples font l’histoire (Belin, 2013, coord. Mathilde Larrère). Elle est depuis 2019 co-présidente du Réseau européen pour la démocratie au Brésil (Red.br).

Déborah Cohen

Déborah Cohen est maîtresse de conférences en histoire à l’université de Rouen.
Elle est notamment l’auteure de La Nature du peuple. Les formes de l’imaginaire social (Seyssel, Champ Vallon, 2010).

Fabrice Colin

Fabrice Colin est l’auteur de nombreux romans, parmi eux : Bal de givre à New York (Albin Michel 2011), Blue Jay Way (Sonatine, 2012), La Poupée de Kafka (Actes Sud, 2016).

Anne Coppel

Anne Coppel est sociologue, militante et féministe, elle a été une actrice de la recherche-action menée rue Saint-Denis en 1990 (sa rencontre avec des chercheurs de l’École de Chicago à l’université d’Ann Arbor en 1972 en a fait une personne clé pour recueillir la parole des prostituées). Ses travaux expérimentaux ont contribué à l’adoption de la politique de réduction des risques. Elle a présidé l’Association française de réduction des risques liés à l’usage des drogues et est une des fondatrices de l’association féministe « Femmes publiques ». Elle est l’auteure de, entre autres, Peut-on civiliser les drogues ? (La Découverte, 2002), La catastrophe invisible. Histoire sociale de l’héroïne (avec Michel Kokoreff, Éditions Amsterdam, 2018). 

Antoine de Baecque

Antoine de Baecque est historien, critique de cinéma et de théâtre. Il est l’auteur de nombreux ouvrages, parmi lesquels : Une histoire de la marche (Perrin, 2016) et La Traversée des Alpes (Gallimard, 2014). Il est professeur à l’École normale supérieure.

Laurence De Cock

Laurence De Cock est professeure agrégée en lycée à Paris, docteure en sciences de l’éducation, chargée de cours en didactique de l’histoire et sociologie du curriculum à l’Université Paris-Diderot. Ses recherches portent sur l’enseignement de l’histoire, les pédagogies alternatives et l’histoire de l’école.
Elle anime avec Mathilde Larrère « Les détricoteuses » sur Médiapart. Elle a co-dirigé avec Emmanuelle Picard, La Fabrique scolaire de l’histoire (Agone, 2009), réédité et entièrement refondu en 2017. Elle est notamment l’auteure de Sur l’enseignement de l’histoire, programmes, débats, pratiques (Libertalia, 2018) et de L’Histoire comme émancipation, avec Mathilde Larrère et Guillaume Mazeau (Agone, 2019).

Martin de la Soudière

Martin de la Soudière est ethnologue. Il travaille depuis de nombreuses années sur les dimensions sensibles du monde rural, avec une prédilection pour la moyenne montagne (Massif central, la Lozère, les Pyrénées). Ses ouvrages principaux sont : Lignes secondaires (Créaphis, 2008), Poétique du village (Stock, 2010), Au bonheur des saisons (Grasset, 1999).

François Ferrier

François Ferrier, co-auteur du Louvre insolent, est peintre. Son travail a pour sujet la condition humaine, à travers des thématiques universelles : le couple, l’âge, le désir, l’errance, la notion de passage, de présence et d’absence. Ces êtres évoluent dans des espaces en perspective, plus ou moins définis, ou existent parfois seulement par la trace de leur passage : une route, un vestige architectural…

Laurent Fonbaustier

Laurent Fonbaustier est professeur de droit public à l’Université Paris-Saclay. Ses travaux portent sur l’histoire des idées politiques et des espaces constitutionnels, sur les libertés fondamentales et le droit de l’environnement. Il a publié, outre de nombreux articles et chroniques dans des revues juridiques spécialisées, John Locke. Le droit avant l’État (Michalon, 2004), La Déposition du pape hérétique. Une origine du constitutionnalisme ? (Mare & Martin, 2016) ainsi qu’un Manuel de droit de l’environnement (Puf, 2e éd., 2020). Il est coresponsable du Master « Droit de l’environnement » à l’Université Paris-Saclay et directeur de la collection « Droit, sciences & environnement » aux éditions Mare & Martin. Ses recherches académiques ont notamment pour objet l’étude de la façon dont les systèmes politico-juridiques libéraux peuvent préserver et même étendre certaines de leurs valeurs fondatrices tout en se réinventant en profondeur, sous l’effet de certaines contraintes ou opportunités, parmi lesquelles le climat et l’environnement occupent une place déterminante. Il aime randonner et assume volontiers être pêcheur-cueilleur.

(Photo: Béatrice Fumet)

François-Xavier Freland

François-Xavier Freland est grand reporter indépendant pour plusieurs médias, dont Jeune Afrique, France Inter et TV5 Monde. Il couvre essentiellement l’Afrique de l’Ouest et l’Amérique latine. À partir de 2007, il a été le correspondant de France 24 au Mali, puis au Venezuela. Passé derrière la caméra, entre 2007 et 2017, il a réalisé près d’une centaine de reportages, dont plusieurs sur le terrorisme et la réalité touarègue au cœur du Sahara. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages : Qui veut la peau d’Hugo Chávez ? (Cherche-Midi, 2012), Saisir l’immatériel (Unesco, 2009), Sarava ! (Naïve Livres, 2005), L’Africaine blanche (Autrement, 2004), Générations Beurs (avec N. Barsali et A.-M. Vincent, Autrement, 2003).

Camille Froidevaux-Metterie

Camille Froidevaux-Metterie est philosophe féministe, professeure de science politique et chargée de mission égalité-diversité à l’université de Reims Champagne-Ardenne. Elle consacre ses recherches aux mutations de la condition féminine consécutives aux conquêtes féministes. Elle les aborde dans une perspective phénoménologique qui place le corps au centre de la réflexion.
Elle est l’autrice de La Révolution du féminin (Gallimard, 2015), ouvrage programmatique de son « féminisme incarné » (Folio Essais, 2020). Un an après #metoo, elle publie Le Corps des femmes. La bataille de l’intime (Philosophie magazine Éditeur, 2018), ouvrage dans lequel elle rend compte de ce mouvement de réappropriation par les femmes de leur corps, qu’elle appelle le « tournant génital du féminisme ». Avec Laurent Metterie, elle a réalisé un docufiction sur les femmes politiques (Dans la jungle, 2013) et prépare un film sur ce que le féminisme fait aux hommes (Les Mâles du siècle, juin 2020).

Photo: (c) Laurent Metterie.

Mathias Gardet

Mathias Gardet est professeur des universités (Paris 8), responsable de l’axe HEDUC. Co-fondateur et vice-président du CNAHES. Concepteur du centre d’exposition et du portail de ressources numériques « Enfants en Justice ».
Ses ouvrages principaux sont : Les Colonies de vacances (Le Cherche midi, 2014), Histoire du mouvement des Pupilles de l’école publique, 1915-1974 (Beauchesne, 2008 et 2015), Mauvaise Graine, deux siècles d’histoire de la justice des mineurs (avec Véronique Blanchard, Textuel, 2017), La parole est aux accusés. Histoire d’une jeunesse sous surveillance 1950-1960 (avec Véronique Blanchard, Textuel, 2020).

William Gasparini

William Gasparini est sociologue et professeur à la faculté des sciences du sport de Strasbourg, titulaire d’une chaire européenne Jean-Monnet en sciences sociales du sport. Il est notamment l’auteur de : Le Football des nations, Paris, Publications de la Sorbonne, 2016 (avec Fabien Archambault et Stéphane Beaud) ; « L’espace européen du football », dossier de la Revue politique européenne, n° 36, 2012 (avec Jean-François Polo) ; Sport et discrimination en Europe, Strasbourg, Éditions du Conseil de l’Europe, 2008 (avec Clotilde Talleu) ; Le Sport dans les quartiers. Pratiques sociales et politiques publiques, Paris, PUF, 2008 (avec Gilles Vieille-Marchiset). Il a préfacé Débordements.

Sarah Gensburger

Chargée de recherches au CNRS, affectée à l’Institut des sciences sociales du politique, Sarah Gensburger est spécialiste des sciences sociales de la mémoire et de l’histoire du Paris de l’Occupation. Elle est notamment l’auteure de Les « Justes de France ». Politiques publiques de la mémoire (Presses de Sciences Po, 2010), Images d’un pillage. Album de la spoliation des Juifs à Paris (Textuel, 2010), Des camps dans Paris (Fayard, 2003, coécrit) et elle a dirigé C’étaient des enfants (Flammarion, 2012) et La Résistance aux génocides. De la pluralité des actes de sauvetage (Presses de Sciences Po, 2008, codirigé). Elle participe au projet REAT – « La réaction sociale aux attentats : sociographie, archives et mémoire », projet de recherche porté par Gérôme Truc et soutenu par le CNRS, dont l’objectif est de produire une sociographie fine des réactions suscitées dans la société française par les attentats de janvier et novembre 2015. Photographie : © Didier Goupy

Zérane S. Girardeau

Directrice artistique et commissaire d’expositions, Zérane S. Girardeau a fondé « Zérane. Confluence artistique » en 2007 – association dédiée à la création d’expositions sur les droits du vivant. Le livre et l’exposition Déflagrations sont le début d’une recherche dédiée aux enfants dans les violences de masse.

Christophe Granger

Christophe Granger a préfacé et supervisé l’édition française de Les Émeutes raciales de Chicago. Il est historien, membre du Centre d’histoire sociale du xxe siècle (Paris-1/CNRS). Il est notamment l’auteur de La Destruction de l’université française (La Fabrique, 2015), À quoi pensent les historiens ? (dir., Autrement, 2013) et La Saison des apparences (Anamosa 2017). Photographie : © Éric Baudet

Alice Gravier

Alice Gravier est illustratrice. Avec Laëtitia Bourget, elle a publié deux albums : L’Enfant idéal (Thierry Magnier, 2013) et Le Creux de ma main (Sarbacane, 2010).

Samuel Hayat

Samuel Hayat est chercheur en science politique au CNRS. Il croise les outils de la théorie politique, la sociologie historique et l’histoire des idées pour retrouver la pluralité des sens des concepts centraux de la politique. Pour cela, il met en lumière des controverses historiques, à partir des débats et des textes du passé. Il a ainsi montré dans un livre publié au Seuil en 2014, 1848, Quand la République était révolutionnaire, comment le sens de la République s’était construit en France en 1848 contre des conceptions aujourd’hui perdues de la représentation et de la citoyenneté, regroupées alors sous l’idée de République démocratique et sociale. Il s’intéresse actuellement plus spécifiquement aux idées des travailleurs et des travailleuses, et en particulier à leurs conceptions de la justice et de la démocratie.

Photo: (c) Cyril Michel.

Jérôme Lamy

Jérôme Lamy est historien et sociologue des sciences, chercheur au CNRS. Il est notamment l’auteur de Faire de la sociologie historique des sciences et des techniques (Hermann, 2018).

Baptiste Lanaspeze

Baptiste Lanaspeze est auteur et éditeur ; il vit à Marseille. Il dirige les éditions Wildproject, spécialisées en écologie, qu’il a fondées en 2009. Il est notamment l’auteur de Marseille, ville sauvage. Essai d’écologie urbaine (Actes Sud, 2012, rééd. : 2020).

Photo : Pierre Antoine Dhonte.

Laurent Le Gall

Laurent Le Gall est professeur d’histoire contemporaine à l’université de Brest ; il est spécialiste de la politisation des campagnes françaises au xixe siècle et de l’histoire du suffrage universel dans la France contemporaine.

 

Éléonore Lépinard

Éléonore Lépinard est sociologue, professeure en études de genre à l’Université de Lausanne. Ses travaux portent sur les mouvements et les théories féministes, l’intersectionnalité, le genre et le droit. Elle est l’autrice avec Marylène Lieber, de Les Théories en études de genre (« Repères », La Découverte, 2020) et de Feminist Trouble, intersectionality Politics in Post-secular Times (Oxford, 2020). Elle a également codirigé plusieurs ouvrages : Genre et islamophobie (ENS éditions, 2021, avec O. Sarrasin et L. Gianettoni), Intersectionality in Feminist and Queer Movements (Routledge, 2020, avec E. Evans), L’Intersectionnalité. Enjeux théoriques et politiques (avec F. Fassa et M. Roca i Escoda, La Dispute, 2016).

Photo: Léa Kloos / Le Temps.

Guillaume Loizillon

Guillaume Loizillon est compositeur et musicien, maître de conférences à Paris 8, et co-fondateur de Trace Label. Il est l’auteur de très nombreux articles et contributions sur la musique électronique, la poésie sonore et les arts numériques.

Photo: (c) Valérie Frossart, Champ-sur-Marne, 2021.

Guillaume Mazeau

Guillaume Mazeau est maître de conférences en histoire moderne à l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Il travaille sur l’histoire de la Révolution française et sa conscience historique. Il fait partie du Comité de vigilance sur les usages de l’histoire (CVUH) et est membre du Collectif Aggiornamento hist-geo. Il est notamment l’auteur de Adrien Duquesnoy. Un révolutionnaire malgré lui (Mercure de France, 2016), Corday contre Marat. Les discordes de l’histoire (Artlys, 2009), Le Bain de l’histoire (Champ Vallon, 2009) et a contribué au livre collectif Pour quoi faire la Révolution (Agone, 2012). Il a co-écrit avec Laurence De Cock et Mathilde Larrère L’Histoire comme émancipation (Agone, 2019).

Sarah Mazouz

Sarah Mazouz est sociologue, chargée de recherches au CNRS (Ceraps) et membre de l’Institut Convergences Migrations. Ses travaux s’appuient sur des enquêtes ethnographiques et mobilisent les critical race studies, la sociologie du droit, la sociologie des politiques publiques et l’anthropologie critique de la morale. Elle est l’autrice de Race (« Le mot est faible », Anamosa, 2020). Dans La République et ses autres. Politiques de l’altérité dans la France des années 2000 (ENS Éditions, 2017), elle montre comment s’articulent dans l’espace social immigration, nation et racialisation.

Samy Mouhoubi

Samy Mouhoubi, co-auteur de Débordements, est journaliste indépendant. Il a travaillé au Parisien, au Monde et à France Soir, notamment comme chroniqueur judiciaire et sportif. Il s’intéresse tout particulièrement aux relations entre la France et l’Algérie.

Mame-Fatou Niang

Mame-Fatou Niang est maîtresse de conférences à Carnegie Mellon University (Pennsylvanie, USA). Elle travaille sur la question noire, l’antiracisme et l’universalisme en France. Elle s’intéresse également aux questions urbaines dans la littérature française contemporaine. Elle a récemment publié Identités françaises, un ouvrage qui interroge les processus de marginalisation et de cooptation dans la communauté nationale à travers une étude de discours sur les banlieues (Brill, 2019).

Manon Ott

Manon Ott est cinéaste, chercheuse et enseignante en sciences sociales et cinéma. Elle est l’auteure, avec Grégory Cohen, du livre Birmanie, rêves sous surveillance (Autrement, 2008) et de plusieurs films documentaires (Yu, Narmada, La Cour des murmures…). Diffusé au cinéma ainsi que dans de nombreux festivals internationaux, son film De cendres et de braises (2018) est associé à une recherche universitaire intitulée « Filmer/Chercher ».

Jean Palliano

Jean Palliano vit à Paris et joue de temps en temps au tennis. Il est l’auteur d’un recueil de nouvelles intitulé Lana Stern.

Manon Pignot

Manon Pignot est maîtresse de conférences HDR en histoire contemporaine à l’université de Picardie Jules-Verne. Elle a été membre junior de l’Institut universitaire de France, entre 2012 et 2017. Membre du Centre de recherches de l’Historial de la Grande Guerre (Péronne), elle travaille sur les expériences enfantines et juvéniles de la guerre depuis une quinzaine d’années. Elle est notamment l’auteure de : 1914-1918. Françoise Dolto, veuve de guerre à sept ans, avec Yann Potin, Paris, Gallimard, 2018 ; Paris dans la Grande Guerre, Paris, Parigramme, 2014 ; L’Enfant soldat, xixe– xxie siècle. Une approche critique, direction d’ouvrage, Paris, Armand Colin, collection « Le fait guerrier », 2012 ; Allons enfants de la patrie. Génération Grande Guerre, Paris, Seuil, collection « L’Univers historique », 2012 ; La Guerre des crayons. Quand les petits Parisiens dessinaient la Grande Guerre, Paris, Parigramme, 2004.

Sarah Rey

Sarah Rey est maître de conférences en histoire ancienne à l’université de Valenciennes. Plusieurs de ses travaux sont consacrés à l’historiographie, ancienne et moderne. Elle s’intéresse aussi à l’histoire sociale et religieuse de la Rome antique.

Michaël Roy

Michaël Roy est maître de conférences en études nord-américaines à l’université Paris Nanterre et membre junior de l’Institut universitaire de France. Ses travaux portent sur le mouvement abolitionniste étatsunien, abordé dans une perspective transnationale , et sur les usages politiques et militants du livre et de l’imprimé. Il est l’auteur de deux ouvrages, Textes fugitifs. Le récit d’esclave au prisme de l’histoire du livre (ENS Éditions, 2017) et De l’antiesclavagisme à l’abolition de l’esclavage. Etats-Unis, 1776-1865 (Atlande, 2018), et d’une traduction des Confessions de Nat Turner (Allia, 2017). Il a également dirigé Frederick Douglass in Context (Cambridge University Press, 2021).

Photo: Ariel Figueroa.

Martine Ruchat

Martine Ruchat est ancienne professeure à la faculté de psychologie et des sciences de l’éducation (université de Genève) et membre du laboratoire d’histoire sociale et culturelle de l’éducation (LHISCE).

Elle a publié et édité des ouvrages et articles sur l’histoire de l’éducation spécialisée (et en particulier sur la construction des catégories problématiques) et sur l’histoire de l’éducation nouvelle, ainsi que des récits biographiques, notamment Le Roman de Solon. Enfant abandonné, voleur de métier (Lausanne, Antipodes, 2008). Son dernier ouvrage est une biographie du médecin et psychologue genevois Édouard Claparède. À quoi sert l’éducation ? (Lausanne, Antipodes, 2015).

Arnaud Saint-Martin

Arnaud Saint-Martin est chargé de recherche en sciences sociales au CNRS. Ses travaux alternent entre l’histoire des sciences, notamment astronomiques, et l’étude sociologique des transformations de l’astronautique, de la guerre froide à l’avènement du « New Space ». Il co-dirige la revue Zilsel consacrée aux études sociales des sciences et techniques.

Photo: Etienne Charbonnier

Carl Sandburg

Journaliste (Chicago Daily News, Day Book), écrivain et poète considéré de son vivant comme une figure majeure de la littérature contemporaine, Carl Sandburg (1878-1967) a reçu deux fois le prix Pulitzer, pour ses poèmes et pour sa biographie d’Abraham Lincoln. À sa mort, le président Lyndon B. Johnson s’est exprimé ainsi : « Carl Sandburg était plus que la voix de l’Amérique, plus que le poète de sa force et de son génie. Il était l’Amérique. » Défenseur du Civil Rights Movement, il fut le premier homme blanc à être décoré, en 1965, par la National Association for the Advancement of Colored People en tant que « prophète majeur des droits civiques ». Photographie : © Chicago History Museum

Nicolas Santolaria

Nicolas Santolaria est journaliste au Monde et écrit notamment dans les pages l’Époque, dont sont issues les chroniques rassemblées ici. Chez Anamosa, il est l’auteur de « Dis Siri ». Enquête sur le génie à l’intérieur du smartphone (2016), de Le Syndrome de la chouquette. Ou la tyrannie sucrée de la vie de bureau (2018 ; Points Seuil, 2019) et de Théorème de la couche-culotte. de l’éducation comme science inexacte (2021). Chez Allary Éditions, il a publié Touriste, regarde où tu poses tes tongs (2015) et Comment j’ai sous-traité ma vie (2017).

Morgane Saysana

Traductrice littéraire de l’anglais et l’allemand vers le français, Morgane Saysana est fascinée par la mauvaise graine logée dans les interstices du rêve américain, à l’ombre de la bannière étoilée. Depuis 2006, elle traduit principalement des auteurs américains contemporains, dont Jerry Stahl, Mark Sundeen, Kate Braverman. Pour anamosa, elle a traduit le texte de Carl Sandburg, Les Émeutes raciales de Chicago.

Julien Suaudeau

Julien Suaudeau est écrivain et réalisateur. Il enseigne et dirige le programme d’études cinématographiques à Bryn Mawr College, non loin de Philadelphie. Ses travaux portent sur les angles morts de l’histoire coloniale et sur les mécanismes de refoulement dont elle fait l’objet dans le discours politique, mais aussi les arts, la culture populaire et le langage quotidien. Récemment parus : Le Sang noir des hommes (Flammarion, 2019) et Le Spectateur zéro (avec Yan Dedel, POL, 2020) lauréat du Prix du Syndicat français de la critique pour le meilleur ouvrage en français sur le cinéma.

Photo: Nicolas Guérin.

Federico Tarragoni

Federico Tarragoni est sociologue, maître de conférences HDR à l’Université de Paris. Il a fondé le Centre de recherches interdisciplinaires sur le politique (CRIPOLIS) et codirige le Laboratoire du changement social et politique. Ses travaux portent sur les idéologies politiques, les conflits sociaux et les dynamiques de politisation démocratique, qu’il aborde en faisant dialoguer la sociologie, l’histoire et la théorie politique. Il a publié L’Énigme révolutionnaire (Les Prairies ordinaires, 2015), Sociologies de l’individu (La Découverte, 2018) et L’esprit démocratique du populisme. Une nouvelle analyse sociologique (La Découverte, 2019). Il travaille actuellement sur les effets émancipateurs de la participation démocratique, à partir d’une enquête longitudinale sur les actrices et acteurs du mouvement Nuit debout (Paris).

Marie-Ève Thérenty

Marie-Ève Thérenty est professeure des universités et directrice du centre de recherche RIRRA21 à l’université Paul Valéry-Montpellier 3. Spécialiste des rapports entre presse et littérature, de poétique des supports et d’imaginaire des sociétés médiatiques, elle a publié plusieurs ouvrages dont Mosaïques. Être écrivain entre presse et roman (1829-1836) (Champion, 2003), La Littérature au quotidien. Poétiques journalistiques au XIXe siècle (Seuil, 2007), avec Amélie Chabrier, Détective, fabrique de crimes ? (K éditions, 2017), Femmes de presse, femmes de lettres. De Delphine de Girardin à Florence Aubenas (CNRS éditions, 2019) et, avec Pierre-Carl Langlais et Julien Schuh, Les Lapins du Père Lachaise. Légendes urbaines, fake news et viralité avant Internet (CNRS éditions, 2020). Elle a codirigé La Civilisation du Journal. Histoire culturelle et littéraire de la presse au XIXe siècle (nouveau monde, 2012). Elle codirige avec Guillaume Pinson medias19.org, plateforme dédiée à l’étude de la culture médiatique et elle pilote le projet Numapresse financé par l’ANR.

Victoria Vanneau

Victoria Vanneau est l’auteure de La Paix des ménages. Juriste et historienne du droit, elle est spécialiste des violences de genre en droit pénal français et en droit pénal international. Elle a enseigné l’histoire des institutions de 476 à nos jours au sein des universités de Paris-2, Rennes-1 et Angers. Elle est à présent ingénieur de recherche à l’Institut des sciences sociales du politique (CNRS/Université de Nanterre), détachée au GIP Mission de recherche Droit et Justice. Elle a notamment publié Le vase de Soissons n’existe pas & autres vérités cruelles sur l’histoire de France (Autrement, 2013) et Le Chien. Histoire d’un objet de compagnie (Autrement, 2014). Photographie : © Éric Baudet

Anouchka Vasak

Anouchka Vasak est maîtresse de conférences en littérature française. Dix-huitièmiste, elle codirige le réseau « perception du climat » et la collection « MétéoS » aux éditions Hermann. Elle est l’autrice, entre autres, d’un Abrégé d’histoire du climat (avec Emmanuel Le Roy Ladurie, Fayard, 2007), et d’un « Essai sur Luke Howard » qui ouvre sa traduction du livre de l’inventeur de la classification des nuages (Sur les modifications des nuages, Hermann, 2012).

Antoine Vauchez

Antoine Vauchez est politiste, directeur de recherche au CNRS et membre du Centre européen de sociologie et science politique (Université Paris 1, EHESS). Ses travaux portent sur l’histoire du centre du pouvoir européen, du Marché unique à l’euro, mais aussi sur les transformations néolibérales du droit et de l’État. Ils analysent ainsi les savoirs et les professionnels du brouillage public-privé et questionnent ce qu’il nous en coûte politiquement et démocratiquement. Sur ce thème, il a publié (avec Pierre France) Sphère publique, intérêts privés (Presses de Sciences Po, 2017) et il organise un séminaire à l’EHESS (avec Benjamin Lemoine) « Les affaires de l’État. Savoirs et professionnels aux frontières public-privé : droit, économie et finance ». Il co-anime avec A.-L. Delatte et S. Hennette le podcast « Public Pride. Pour un nouvel abécédaire du public ».

Sylvain Venayre

Sylvain Venayre est professeur d’histoire contemporaine à l’Université Grenoble-Alpes. Sur l’histoire de la presse, il a notamment publié Une guerre au loin. Annam, 1883 (Paris, Les Belles Lettres, 2016). Avec Pierre Singaravélou, il a codirigé Histoire du monde au XIXe siècle (Fayard, 2017) et Le Magasin du monde (Fayard, 2020). Il dirige l’Histoire dessinée de la France (La Découverte/La Revue dessinée), dont il co-scénarisé le premier volume, La Balade nationale, avec Étienne Davodeau (2017).

Olivier Villepreux

Après avoir travaillé à La Dépêche du Midi, L’Équipe, Libération et pour les revues Attitude, Olivier Villepreux est journaliste sans journal. Il est auteur, traducteur et documentariste. Essayiste, il a notamment écrit : Sur l’herbe verte de l’hippodrome (Anamosa, 2018), Débordements. Sombres histoires de football, 1938-2016 (Anamosa, 2016), Tex-Mix (Publie.Net, 2013) et Feue la flamme. Pour en finir avec les JO (Gallimard, 2008). Il anime le blog contre-pied, sur lemonde.fr.

 

 

Léonard Vincent

Léonard Vincent est écrivain et journaliste. Il est actuellement reporter au service Afrique de RFI et a longtemps été reporter en Afrique de l’Est. Il a publié en 2012 un essai-enquête, Les Érythréens qui a connu un beau succès de librairie (Rivages, puis édition de poche chez Rivages Poche), ainsi que des romans : Athènes ne donne rien (Les Équateurs, 2014) et Shiftas (Les Équateurs, 2019).

Barre latérale principale

Calendrier

  • 12 février, 15 h-17 h: Christophe Granger à la librairie Maupetit (Marseille)
  • 8 février à 20 h : Emmanuel Saint-Fuscien et Stéphane Audoin-Rouzeau à la librairie L’Atelier (Paris 20e)
  • 2 février à 19 h 30 : Mame-Fatou Niang et Julien Suaudeau à la librairie Le Pied à terre (Paris, 18e)
  • 11 juin à 19 h : Michaël Roy à la Librairie Libertalia
  • Le 5 mai, Sarah Mazouz à la Librairie Petite Égypte

Footer

Newsletter

Abonnez-vous à la newsletter Anamosa

Actualités récentes

  • 12 février, 15 h-17 h: Christophe Granger à la librairie Maupetit (Marseille)
  • 8 février à 20 h : Emmanuel Saint-Fuscien et Stéphane Audoin-Rouzeau à la librairie L’Atelier (Paris 20e)
  • 2 février à 19 h 30 : Mame-Fatou Niang et Julien Suaudeau à la librairie Le Pied à terre (Paris, 18e)
  • 11 juin à 19 h : Michaël Roy à la Librairie Libertalia
  • Le 5 mai, Sarah Mazouz à la Librairie Petite Égypte

Social

  • Voir le profil de editionsanamosa sur Facebook
  • Voir le profil de anamosa_ed sur Twitter
  • Voir le profil de editions_anamosa sur Instagram

Anamosa sur Facebook

Anamosa sur Facebook

Copyright ©2022 · Editions Anamosa - Site réalisé par Lesmotspourleweb

Mentions légales | Nous contacter

Copyright Anamosa, 2017 · Site réalisé par Les mots pour le web · Se connecter

MENU
  • Accueil
  • La maison
  • Les livres
  • Les autrices et auteurs
  • Les revues
  • Actualités
  • Nous contacter