Frédéric AlliotFrédéric Alliot enseigne les mathématiques au lycée après une formation d’ingénieur et un doctorat de mathématiques appliquées. Dès qu’il sort de sa salle de classe, il explore avec persévérance et délectation l’univers de la peinture ancienne. Il a collaboré au Louvre insolent. |
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Malika AmaoucheMalika Amaouche est anthropologue, militante et féministe, elle travaille sur la question des comportements à risques des personnes en marge de la société avec une approche intersectionnelle. Titulaire d’un master à l’EHESS, elle a ensuite travaillé et milité sur les questions de prostitutions dans le champ associatif. Elle est l’auteure de nombreux articles – dans la revue Vacarme, aux éditions Autrement (Jeunes et sexualités), aux éditions Robert Laffont (entrée « Écologie » dans le Dictionnaire des sexualités sous la direction de J. Mossuz-Lavau), aux éditions Antipodes (« La prostitution des traditionnelles » dans Cachez ce travail que je ne saurais voir, de M. Lieber, J. Dahinden, E. Hertz) – et de plusieurs rapports issus de recherches-actions portant sur l’errance, les comportements addictifs, la prostitution et sur l’économie de la rue. |
Jacques-Pierre AmetteJacques-Pierre Amette est écrivain. Écrivain au sens complet du terme puisqu’il aborde tous les genres, tour à tour romancier, nouvelliste, dramaturge, journaliste, critique littéraire, biographe, scénariste… En 2003, il a obtenu le prix Goncourt pour La Maîtresse de Brecht (Albin Michel). Il s’adonne également régulièrement à l’aquarelle. Lors de ses voyages, il n’a jamais oublié d’emporter des carnets sur lesquels il a inscrit des notes, pensées et idées qu’il a agrémentées de très nombreux dessins, croquis et esquisses. Aujourd’hui il peint pour son simple plaisir les paysages des côtes normandes dont les ciels alternativement paisibles et dégagés, ou torturés par des nuages menaçants, bas et lourds, l’inspirent. Il a préfacé Le Louvre insolent. |
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Ludivine BantignyLudivine Bantigny est maîtresse de conférences en histoire contemporaine à l’université de Rouen. Photo: Hervé Thouroude. |
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Béatrice BarbusseAncienne sportive de haut niveau et seule femme à présider en France un club professionnel masculin de handball tous sports collectifs confondus de 2008 à 2012, l’US Ivry Handball, Béatrice Barbusse, titulaire de l’agrégation de sciences sociales, est maître de conférences en sociologie à l’université Paris-Est Créteil. Elle est également présidente du conseil d’administration du Centre national pour le développement du sport et membre du conseil d’administration de la Fédération française de handball, au sein de laquelle elle assume la coresponsabilité du plan de féminisation national. Parmi ses ouvrages récents, on peut citer : La Sociologie en fiches (avec Dominique Glaymann, Ellipses, 2015), Être entraîneur sportif (Lieux dits, 2012) et la coordination du n° 32 de la revue Sociologies pratiques sur « Sport et entreprises » (avril-mai 2016). Photographie : © Éric Baudet |
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Cécile BaronCécile Baron, co-auteure du Louvre insolent, enseigne l’anglais et l’histoire des arts en lycée. Titulaire d’un master en histoire de l’art sur l’art social à la Sorbonne, elle fait actuellement des recherches en master-2, s’intéressant plus particulièrement à l’importance de la pédagogie au/du musée, mouvement initié au tournant du xxe siècle, dans le cadre des congrès de l’œuvre de l’Art public. |
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Frédéric BernardFrédéric Bernard, co-auteur de Débordements, est chiropracteur. Il vit à Rome. Par son éducation et par son métier, il a eu l’occasion de connaître de près le monde du football italien. |
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Jean-François BertSociologue et historien des sciences sociales, Jean-François Bert est maître d’enseignement et de recherche à l’université de Lausanne, il est notamment l’auteur de Introduction à Michel Foucault (La Découverte, 2011) et Une histoire de la fiche érudite (ENSSIB, 2017). |
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Thomas BouchetThomas Bouchet est professeur associé en histoire de la pensée politique à l’université de Lausanne. Ses recherches portent sur l’histoire des pensées et des pratiques politiques et sociales, notamment socialistes, dans la France du XIXe siècle. Il est l’auteur de : De colère et d’ennui (Anamosa, 2018), Les Fruits défendus. Socialismes et sensualité du XIXe siècle à nos jours (Stock, 2014), Noms d’oiseaux. L’insulte en politique de la Restauration à nos jours (Stock, 2010, Livre de poche, 2011). Ces dernières années, il a étudié de près la vie, les idées et les rêves libertaires de Joseph Déjacque (À bas les chefs !, La Fabrique, 2016 ; Libertaire !, avec Patrick Samzun, Presses universitaires de Franche-Comté, 2019). |
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Samuel BoussionSamuel Boussion est maître de conférences à Paris 8, membre de l’axe HEDUC « Histoire des éducations » du CIRCEFT. Il développe ses recherches dans le cadre de l’histoire de l’éducation spécialisée et s’intéresse à l’histoire transnationale du médico-pédagogique. Il est l’auteur de Les éducateurs spécialisés. Naissance d’une profession (1947-1959) (PUR, 2013) et a codirigé un numéro de la Revue d’histoire de l’enfance « irrégulière » sur l’histoire de la psychiatrie de l’enfant dans une perspective internationale. Membre du bureau du CNAHES (Conservatoire national des archives et de l’histoire de l’éducation spécialisée et de l’action sociale). |
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Lydia BraggiottiLydia Braggiotti est une militante de la lutte contre le sida et contre l’exclusion dans les différents milieux qu’elle a traversés : usagers de drogues, prostituées, patients et patientes VIH, femmes en grande exclusion. |
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Matthieu ChiaraMatthieu Chiara, illustrateur, est l’auteur de Dessins variés, effets divers (Le monte-en-l’air, 2015) et Hors-jeu (L’agrume, 2016). Il travaille régulièrement pour des revues illustrées et réalise des gravures et des concerts dessinés. |
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Déborah CohenDéborah Cohen est maîtresse de conférences en histoire à l’université de Rouen. |
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Fabrice ColinFabrice Colin est l’auteur de nombreux romans, parmi eux : Bal de givre à New York (Albin Michel 2011), Blue Jay Way (Sonatine, 2012), La Poupée de Kafka (Actes Sud, 2016). |
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Anne CoppelAnne Coppel est sociologue, militante et féministe, elle a été une actrice de la recherche-action menée rue Saint-Denis en 1990 (sa rencontre avec des chercheurs de l’École de Chicago à l’université d’Ann Arbor en 1972 en a fait une personne clé pour recueillir la parole des prostituées). Ses travaux expérimentaux ont contribué à l’adoption de la politique de réduction des risques. Elle a présidé l’Association française de réduction des risques liés à l’usage des drogues et est une des fondatrices de l’association féministe « Femmes publiques ». Elle est l’auteure de, entre autres, Peut-on civiliser les drogues ? (La Découverte, 2002), La catastrophe invisible. Histoire sociale de l’héroïne (avec Michel Kokoreff, Éditions Amsterdam, 2018). |
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Antoine de BaecqueAntoine de Baecque est historien, critique de cinéma et de théâtre. Il est l’auteur de nombreux ouvrages, parmi lesquels : Une histoire de la marche (Perrin, 2016) et La Traversée des Alpes (Gallimard, 2014). Il est professeur à l’École normale supérieure. |
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Laurence De CockLaurence De Cock est professeure agrégée en lycée à Paris, docteure en sciences de l’éducation, chargée de cours en didactique de l’histoire et sociologie du curriculum à l’Université Paris-Diderot. Ses recherches portent sur l’enseignement de l’histoire, les pédagogies alternatives et l’histoire de l’école. |
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Martin de la SoudièreMartin de la Soudière est ethnologue. Il travaille depuis de nombreuses années sur les dimensions sensibles du monde rural, avec une prédilection pour la moyenne montagne (Massif central, la Lozère, les Pyrénées). Ses ouvrages principaux sont : Lignes secondaires (Créaphis, 2008), Poétique du village (Stock, 2010), Au bonheur des saisons (Grasset, 1999). |
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François FerrierFrançois Ferrier, co-auteur du Louvre insolent, est peintre. Son travail a pour sujet la condition humaine, à travers des thématiques universelles : le couple, l’âge, le désir, l’errance, la notion de passage, de présence et d’absence. Ces êtres évoluent dans des espaces en perspective, plus ou moins définis, ou existent parfois seulement par la trace de leur passage : une route, un vestige architectural… |
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Laurent FonbaustierLaurent Fonbaustier est professeur de droit public à l’Université Paris-Saclay. Ses travaux portent sur l’histoire des idées politiques et des espaces constitutionnels, sur les libertés fondamentales et le droit de l’environnement. Il a publié, outre de nombreux articles et chroniques dans des revues juridiques spécialisées, John Locke. Le droit avant l’État (Michalon, 2004), La Déposition du pape hérétique. Une origine du constitutionnalisme ? (Mare & Martin, 2016) ainsi qu’un Manuel de droit de l’environnement (Puf, 2e éd., 2020). Il est coresponsable du Master « Droit de l’environnement » à l’Université Paris-Saclay et directeur de la collection « Droit, sciences & environnement » aux éditions Mare & Martin. Ses recherches académiques ont notamment pour objet l’étude de la façon dont les systèmes politico-juridiques libéraux peuvent préserver et même étendre certaines de leurs valeurs fondatrices tout en se réinventant en profondeur, sous l’effet de certaines contraintes ou opportunités, parmi lesquelles le climat et l’environnement occupent une place déterminante. Il aime randonner et assume volontiers être pêcheur-cueilleur. (Photo: Béatrice Fumet) |
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François-Xavier FrelandFrançois-Xavier Freland est grand reporter indépendant pour plusieurs médias, dont Jeune Afrique, France Inter et TV5 Monde. Il couvre essentiellement l’Afrique de l’Ouest et l’Amérique latine. À partir de 2007, il a été le correspondant de France 24 au Mali, puis au Venezuela. Passé derrière la caméra, entre 2007 et 2017, il a réalisé près d’une centaine de reportages, dont plusieurs sur le terrorisme et la réalité touarègue au cœur du Sahara. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages : Qui veut la peau d’Hugo Chávez ? (Cherche-Midi, 2012), Saisir l’immatériel (Unesco, 2009), Sarava ! (Naïve Livres, 2005), L’Africaine blanche (Autrement, 2004), Générations Beurs (avec N. Barsali et A.-M. Vincent, Autrement, 2003). |
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Camille Froidevaux-MetterieCamille Froidevaux-Metterie est philosophe féministe, professeure de science politique et chargée de mission égalité-diversité à l’université de Reims Champagne-Ardenne. Elle consacre ses recherches aux mutations de la condition féminine consécutives aux conquêtes féministes. Elle les aborde dans une perspective phénoménologique qui place le corps au centre de la réflexion. Photo: (c) Laurent Metterie. |
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Mathias GardetMathias Gardet est professeur des universités (Paris 8), responsable de l’axe HEDUC. Co-fondateur et vice-président du CNAHES. Concepteur du centre d’exposition et du portail de ressources numériques « Enfants en Justice ». |
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William GaspariniWilliam Gasparini est sociologue et professeur à la faculté des sciences du sport de Strasbourg, titulaire d’une chaire européenne Jean-Monnet en sciences sociales du sport. Il est notamment l’auteur de : Le Football des nations, Paris, Publications de la Sorbonne, 2016 (avec Fabien Archambault et Stéphane Beaud) ; « L’espace européen du football », dossier de la Revue politique européenne, n° 36, 2012 (avec Jean-François Polo) ; Sport et discrimination en Europe, Strasbourg, Éditions du Conseil de l’Europe, 2008 (avec Clotilde Talleu) ; Le Sport dans les quartiers. Pratiques sociales et politiques publiques, Paris, PUF, 2008 (avec Gilles Vieille-Marchiset). Il a préfacé Débordements. |
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Sarah GensburgerChargée de recherches au CNRS, affectée à l’Institut des sciences sociales du politique, Sarah Gensburger est spécialiste des sciences sociales de la mémoire et de l’histoire du Paris de l’Occupation. Elle est notamment l’auteure de Les « Justes de France ». Politiques publiques de la mémoire (Presses de Sciences Po, 2010), Images d’un pillage. Album de la spoliation des Juifs à Paris (Textuel, 2010), Des camps dans Paris (Fayard, 2003, coécrit) et elle a dirigé C’étaient des enfants (Flammarion, 2012) et La Résistance aux génocides. De la pluralité des actes de sauvetage (Presses de Sciences Po, 2008, codirigé). Elle participe au projet REAT – « La réaction sociale aux attentats : sociographie, archives et mémoire », projet de recherche porté par Gérôme Truc et soutenu par le CNRS, dont l’objectif est de produire une sociographie fine des réactions suscitées dans la société française par les attentats de janvier et novembre 2015. Photographie : © Didier Goupy |
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Zérane S. GirardeauDirectrice artistique et commissaire d’expositions, Zérane S. Girardeau a fondé « Zérane. Confluence artistique » en 2007 – association dédiée à la création d’expositions sur les droits du vivant. Le livre et l’exposition Déflagrations sont le début d’une recherche dédiée aux enfants dans les violences de masse. |
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Christophe GrangerChristophe Granger a préfacé et supervisé l’édition française de Les Émeutes raciales de Chicago. Il est historien, membre du Centre d’histoire sociale du xxe siècle (Paris-1/CNRS). Il est notamment l’auteur de La Destruction de l’université française (La Fabrique, 2015), À quoi pensent les historiens ? (dir., Autrement, 2013) et La Saison des apparences (Anamosa 2017). Photographie : © Éric Baudet |
Alice GravierAlice Gravier est illustratrice. Avec Laëtitia Bourget, elle a publié deux albums : L’Enfant idéal (Thierry Magnier, 2013) et Le Creux de ma main (Sarbacane, 2010). |
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Laurent Le GallLaurent Le Gall est professeur d’histoire contemporaine à l’université de Brest ; il est spécialiste de la politisation des campagnes françaises au xixe siècle et de l’histoire du suffrage universel dans la France contemporaine.
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Guillaume MazeauGuillaume Mazeau est maître de conférences en histoire moderne à l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Il travaille sur l’histoire de la Révolution française et sa conscience historique. Il fait partie du Comité de vigilance sur les usages de l’histoire (CVUH) et est membre du Collectif Aggiornamento hist-geo. Il est notamment l’auteur de Adrien Duquesnoy. Un révolutionnaire malgré lui (Mercure de France, 2016), Corday contre Marat. Les discordes de l’histoire (Artlys, 2009), Le Bain de l’histoire (Champ Vallon, 2009) et a contribué au livre collectif Pour quoi faire la Révolution (Agone, 2012). Il a co-écrit avec Laurence De Cock et Mathilde Larrère L’Histoire comme émancipation (Agone, 2019). |
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Sarah MazouzSarah Mazouz est sociologue, chargée de recherches au CNRS. Ses travaux s’appuient sur des enquêtes ethnographiques et mobilisent les critical race studies, la sociologie du droit, la sociologie des politiques publiques et l’anthropologie critique de la morale. Dans son ouvrage La République et ses autres. Politiques de l’altérité dans la France des années 2000 (ENS Éditions, 2017), elle montre comment s’articulent dans l’espace social immigration, nation et racialisation. En étudiant les résistances opposées à la mise en œuvre d’une politique publique de lutte contre les discriminations raciales et les pratiques de naturalisation, où s’affirme le plus souvent une conception univoque de l’appartenance à la nation, elle interroge l’économie des relations entre identité, égalité et citoyenneté dans le contexte républicain. Sarah Mazouz a contribué au dossier « Intersectionnalité » de la revue Mouvements (février 2019). |
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Samy MouhoubiSamy Mouhoubi, co-auteur de Débordements, est journaliste indépendant. Il a travaillé au Parisien, au Monde et à France Soir, notamment comme chroniqueur judiciaire et sportif. Il s’intéresse tout particulièrement aux relations entre la France et l’Algérie. |
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Manon OttManon Ott est cinéaste, chercheuse et enseignante en sciences sociales et cinéma. Elle est l’auteure, avec Grégory Cohen, du livre Birmanie, rêves sous surveillance (Autrement, 2008) et de plusieurs films documentaires (Yu, Narmada, La Cour des murmures…). Diffusé au cinéma ainsi que dans de nombreux festivals internationaux, son film De cendres et de braises (2018) est associé à une recherche universitaire intitulée « Filmer/Chercher ». |
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Jean PallianoJean Palliano vit à Paris et joue de temps en temps au tennis. Il est l’auteur d’un recueil de nouvelles intitulé Lana Stern. |
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Manon PignotManon Pignot est maîtresse de conférences HDR en histoire contemporaine à l’université de Picardie Jules-Verne. Elle a été membre junior de l’Institut universitaire de France, entre 2012 et 2017. Membre du Centre de recherches de l’Historial de la Grande Guerre (Péronne), elle travaille sur les expériences enfantines et juvéniles de la guerre depuis une quinzaine d’années. Elle est notamment l’auteure de : 1914-1918. Françoise Dolto, veuve de guerre à sept ans, avec Yann Potin, Paris, Gallimard, 2018 ; Paris dans la Grande Guerre, Paris, Parigramme, 2014 ; L’Enfant soldat, xixe– xxie siècle. Une approche critique, direction d’ouvrage, Paris, Armand Colin, collection « Le fait guerrier », 2012 ; Allons enfants de la patrie. Génération Grande Guerre, Paris, Seuil, collection « L’Univers historique », 2012 ; La Guerre des crayons. Quand les petits Parisiens dessinaient la Grande Guerre, Paris, Parigramme, 2004. |
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Sarah ReySarah Rey est maître de conférences en histoire ancienne à l’université de Valenciennes. Plusieurs de ses travaux sont consacrés à l’historiographie, ancienne et moderne. Elle s’intéresse aussi à l’histoire sociale et religieuse de la Rome antique. |
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Martine RuchatMartine Ruchat est ancienne professeure à la faculté de psychologie et des sciences de l’éducation (université de Genève) et membre du laboratoire d’histoire sociale et culturelle de l’éducation (LHISCE). Elle a publié et édité des ouvrages et articles sur l’histoire de l’éducation spécialisée (et en particulier sur la construction des catégories problématiques) et sur l’histoire de l’éducation nouvelle, ainsi que des récits biographiques, notamment Le Roman de Solon. Enfant abandonné, voleur de métier (Lausanne, Antipodes, 2008). Son dernier ouvrage est une biographie du médecin et psychologue genevois Édouard Claparède. À quoi sert l’éducation ? (Lausanne, Antipodes, 2015). |
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Arnaud Saint-MartinArnaud Saint-Martin est chargé de recherche en sciences sociales au CNRS. Ses travaux alternent entre l’histoire des sciences, notamment astronomiques, et l’étude sociologique des transformations de l’astronautique, de la guerre froide à l’avènement du « New Space ». Il co-dirige la revue Zilsel consacrée aux études sociales des sciences et techniques. Photo: Etienne Charbonnier |
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Samuel HayatSamuel Hayat est chercheur en science politique au CNRS. Il croise les outils de la théorie politique, la sociologie historique et l’histoire des idées pour retrouver la pluralité des sens des concepts centraux de la politique. Pour cela, il met en lumière des controverses historiques, à partir des débats et des textes du passé. Il a ainsi montré dans un livre publié au Seuil en 2014, 1848, Quand la République était révolutionnaire, comment le sens de la République s’était construit en France en 1848 contre des conceptions aujourd’hui perdues de la représentation et de la citoyenneté, regroupées alors sous l’idée de République démocratique et sociale. Il s’intéresse actuellement plus spécifiquement aux idées des travailleurs et des travailleuses, et en particulier à leurs conceptions de la justice et de la démocratie. Photo: (c) Cyril Michel. |
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Carl SandburgJournaliste (Chicago Daily News, Day Book), écrivain et poète considéré de son vivant comme une figure majeure de la littérature contemporaine, Carl Sandburg (1878-1967) a reçu deux fois le prix Pulitzer, pour ses poèmes et pour sa biographie d’Abraham Lincoln. À sa mort, le président Lyndon B. Johnson s’est exprimé ainsi : « Carl Sandburg était plus que la voix de l’Amérique, plus que le poète de sa force et de son génie. Il était l’Amérique. » Défenseur du Civil Rights Movement, il fut le premier homme blanc à être décoré, en 1965, par la National Association for the Advancement of Colored People en tant que « prophète majeur des droits civiques ». Photographie : © Chicago History Museum |
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Nicolas SantolariaNicolas Santolaria est journaliste nomade. Chez Anamosa, il est l’auteur de « Dis Siri ». Enquête sur le génie à l’intérieur du smartphone (2016) et de Le syndrome de la chouquette. Ou La tyrannie sucrée de la vie de bureau (2018) qui rassemble des textes issus de sa chronique « Bureau-tics » publiée chaque semaine dans Le Monde. Il est aussi l’auteur de Touriste, regarde où tu poses tes tongs (2015), et de Comment j’ai sous-traité ma vie (2017) chez Allary Editions. |
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Morgane SaysanaTraductrice littéraire de l’anglais et l’allemand vers le français, Morgane Saysana est fascinée par la mauvaise graine logée dans les interstices du rêve américain, à l’ombre de la bannière étoilée. Depuis 2006, elle traduit principalement des auteurs américains contemporains, dont Jerry Stahl, Mark Sundeen, Kate Braverman. Pour anamosa, elle a traduit le texte de Carl Sandburg, Les Émeutes raciales de Chicago. |
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Victoria VanneauVictoria Vanneau est l’auteure de La Paix des ménages. Juriste et historienne du droit, elle est spécialiste des violences de genre en droit pénal français et en droit pénal international. Elle a enseigné l’histoire des institutions de 476 à nos jours au sein des universités de Paris-2, Rennes-1 et Angers. Elle est à présent ingénieur de recherche à l’Institut des sciences sociales du politique (CNRS/Université de Nanterre), détachée au GIP Mission de recherche Droit et Justice. Elle a notamment publié Le vase de Soissons n’existe pas & autres vérités cruelles sur l’histoire de France (Autrement, 2013) et Le Chien. Histoire d’un objet de compagnie (Autrement, 2014). Photographie : © Éric Baudet |
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Olivier VillepreuxOlivier Villepreux est journaliste indépendant. Il a travaillé à L’Équipe, Libération et Attitude. Notamment sur son blog (contre-pied, hébergé sur lemonde.fr), il a déjà consacré plusieurs articles au monde des courses ; en 2014, il a réalisé le documentaire Pompadour, on achève bien les Haras nationaux (Chamaerops/France 3 Limousin, 2014). Parmi ses ouvrages, on pourra citer : Débordements. Sombres histoires de football, 1938-2016 (Anamosa, 2016), Les Miscellanées du rugby (Fetjaine, 2011), Feue la flamme. Pour en finir avec les JO (Gallimard, 2008).
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Léonard VincentLéonard Vincent est écrivain et journaliste. Il est actuellement reporter au service Afrique de RFI et a longtemps été reporter en Afrique de l’Est. Il a publié en 2012 un essai-enquête, Les Érythréens qui a connu un beau succès de librairie (Rivages, puis édition de poche chez Rivages Poche), ainsi que des romans : Athènes ne donne rien (Les Équateurs, 2014) et Shiftas (Les Équateurs, 2019). |